Blueberry, tome 26 : Géronimo l'Apache 
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Une gueule. Un personnage. Une légende de l'Ouest américain, pas moins. Il s'appelle Blueberry. Mike Blueberry. Drôle de nom : en anglais, il signifie "myrtille"... Mais attention : avec son nez cabossé, sa barbe de trois jours et son caractère de cochon, Blueberry est un dur. Un coriace. Un éternel rebelle, indiscipliné, râleur et batailleur. C'est aussi l'une des figures légendaires de la bande dessinée, née dans les pages de l'hebdomadaire Pilote. Les bonnes fées de la BD se sont penchées sur son destin : ses créateurs, le scénariste Charlier et le dessinateur Giraud, sont deux signatures majeures du neuvième art. Jean-Michel Charlier, grand raconteur d'histoires et maître du récit réaliste, était l'auteur de classiques comme Buck Danny, Barbe-rouge ou Tanguy et Laverdure. Quant à Jean Giraud - qui ne signait pas encore de son pseudonyme Moebius -, il rêvait de mettre en images les paysages de l'Ouest. Quelques années plus tôt, lors d'un voyage initiatique au Mexique, il avait "passé un contrat avec le western, le désert infini et sa magie". En octobre 1963, Blueberry monte en selle dans Fort Navajo. Il va entraîner dans ses chevauchées plusieurs générations de lecteurs. La série ne manque pas d'atouts : les scénarios impeccablement ficelés de Charlier sont magistralement servis par le trait réaliste de Giraud, dont la puissance s'affirme au fil des albums. Le personnage de Blueberry, lui, va gagner en épaisseur et en humanité. Jusqu'à devenir un homme traqué, brisé, accusé de meurtre et trouvant refuge au sein des tribus indiennes, bien loin de l'imagerie traditionnelle de l'histoire du western. En 1989, Charlier disparaît. Giraud décide alors de poursuivre seul la série. Il met en scène un Blueberry pour le moins inattendu, qui délaisse l'action pour s'interroger sur le sens de son existence... Mais sa carrière est loin d'être achevée : Charlier avait écrit le récit complet de sa vie. Blueberry est programmé pour quitter la scène en 1933, le soir où le président Roosevelt signa l'Acte d'abolition de la Prohibition... —Gilbert Jacques

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Blueberry, tome 27 : OK Corral 
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C'est le grand retour de Mike Steve Blueberry ! Enfin, "grand retour", c'est vite dit. Il n'est pas trop fringant, l'ami Blueb'. Toujours alité, toujours blessé, la poitrine entourée de bandages, un toubib aux petits soins pour lui et une chanteuse de saloon nommée Dorée Malone en guise de garde-malade... On est loin du héros inoxydable qu'on a connu voilà quelques albums ! Tout ce qui reste du mythe nous ramène surtout au passé. Un plumitif venu de l'Est se charge de s'installer au pied de son lit et de recueillir les souvenirs du grand aventurier pour écrire ses Mémoires. Mais les événements vont s'emballer et pousser Mike à se lever plus tôt que prévu : Dorée a disparu. Du coup, on retrouve Blueberry au bar du saloon, bien décidé à s'occuper de l'enquête. Dans une ville comme Tombstone, il faut toujours craindre le pire. Et à propos de pire, les heures qui viennent risquent de compter double : dans l'ombre, un drame se prépare. Les frères Earp ne le savent pas encore, mais les gars des clans Clanton et McLaury leur préparent un réveil mouvementé. Là, la fiction rejoint la légende : celle d'un fameux duel à OK Corral, déjà immortalisé par le cinéma...
Avec Jean Giraud, les lecteurs de Blueberry ne sont pas au bout de leurs surprises ! Successeur de son complice Jean-Michel Charlier dans l'écriture du scénario, le dessinateur fait subir une transformation pour le moins intéressante à cette icône du western en bande dessinée. Son Blueberry à lui quitte sa défroque de héros bourlingueur pour se retrouver dans la peau d'un homme en proie au doute, cloué au lit et réduit à raconter sa vie… Inattendu ! Mais le démon de l'action recommence à le démanger dans ce nouvel épisode de la saga, et le lecteur se réjouira de retrouver le grand Blueberry qu'il a connu. Car il a beau s'appeler désormais "Mister" Blueberry, il est loin de ressembler au premier quidam venu. Quant au dessin, il reste un régal. La fluidité du trait de Giraud/Moebius, sa capacité à faire coexister un incroyable sens du détail et un goût de l'épure le rendent toujours aussi unique dans le paysage de la bande dessinée d'aujourd'hui. Et le visage de Blueberry n'est pas le moindre intérêt de cette nouvelle étape de la saga : au gré des pages et des cases, il se montre tour à tour raviné par les stigmates d'une vie chaotique ou étonnamment lisse, comme s'il s'agissait de celui d'un androgyne. Décidément, la reprise de la série par le seul Giraud n'a pas fini de nous étonner… —Gilbert Jacques

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La Caste des Méta-Barons, tome 2 : Honorata la trisaïeule 
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Il est le Méta-Baron ! La simple évocation de son nom suffit à terrifier des armées entières. Depuis des générations, le Méta-Baron est le plus puissant combattant de l'univers. On a connu le dernier de cette dynastie au cours des aventures du pauvre John Difool et de ses démêlés avec l'Incal. On découvre à présent l'extraordinaire histoire de ses ancêtres, qui commence avec Othon, ancien pirate, qui, par amour et loyauté, devint le premier Méta-Baron. On assiste au terrible rite de passage qui régit cette famille impitoyable, où le fils est mutilé par son père, puis doit le vaincre en un combat singulier d'où il ne reste qu'un seul survivant. Il en est ainsi à chaque génération de la caste des Méta-Barons !

Jodorowsky (Les cycles de L'Incal, Les Technopères, Le Lama Blanc) nous plonge dans la fantastique épopée de la famille de ce personnage fabuleux. La mise en scène est rythmée par le graphisme flamboyant de Guimenez ( Le Quatrième Pouvoir, Léo Roa) qui, dans un déluge de couleurs, nous fait vivre les titanesques affrontements qui ponctuent cette série déjà classique. —Victor Dantès

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La Caste des Méta-Barons, tome 7 : Aghora, le père-mère 
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Il est le Méta-Baron ! La simple évocation de son nom suffit à terrifier des armées entières. Depuis des générations, le Méta-Baron est le plus puissant combattant de l'univers. On a connu le dernier de cette dynastie au cours des aventures du pauvre John Difool et de ses démêlés avec l'Incal. On découvre à présent l'extraordinaire histoire de ses ancêtres, qui commence avec Othon, ancien pirate, qui, par amour et loyauté, devint le premier Méta-Baron. On assiste au terrible rite de passage qui régit cette famille impitoyable, où le fils est mutilé par son père, puis doit le vaincre en un combat singulier d'où il ne reste qu'un seul survivant. Il en est ainsi à chaque génération de la caste des Méta-Barons ! Jodorowsky (Les cycles de L'Incal, Les Technopères, Le Lama Blanc) nous plonge dans la fantastique épopée de la famille de ce personnage fabuleux. La mise en scène est rythmée par le graphisme flamboyant de Guimenez ( LeQuatrième Pouvoir, Léo Roa) qui, dans un déluge de couleurs, nous fait vivre les titanesques affrontements qui ponctuent cette série déjà classique. —Victor Dantès

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Les Cités Obscures, tome 02 : La Fièvre d'Urbicande 
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Drôle d'objet. C'est un simple cube, exhumé lors de la construction d'un chantier. L'architecte Eugen Robick n'aurait cependant pas dû le laisser traîner sur son bureau. Car le cube se met à grandir. Au fil des jours, sa progression se fait vertigineuse. Peu à peu, il enserre la cité d'Urbicande en un réseau gigantesque. Une excroissance monstrueuse qui vient se greffer sur la ville et bouleverser toute son organisation sociale... La Fièvre d'Urbicande est l'un des épisodes les plus fascinants du cycle des Cités obscures, créé par le scénariste Benoît Peeters et le dessinateur François Schuiten. Les deux auteurs ont élaboré un univers cohérent, parallèle au nôtre, allant même jusqu'à en dresser un véritable inventaire dans un Guide des Cités. Déclinée en de multiples supports (livres illustrés, expositions, site Internet), la saga des Cités est une oeuvre ambitieuse : une véritable réflexion sur le progrès, la science et le pouvoir. Et, bien sûr, la ville et l'architecture. —Gilbert Jacques

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