Astérix, Tome 2 : La Serpe d'orRené Goscinny, Albert Uderzo Dans cet album, la vie lutécienne est en vedette : cohues et invectives dans les ruelles, pollution, tavernes pour soirées débridées, brigands, guide touristique de la "cité lumière", premier séjour en prison pour Astérix et Obélix, et même la découverte d'une forêt touffue et peuplée de loups dont on ne sait pas encore qu'elle deviendra, bien plus tard, le bois de Boulogne. 2012101348 Astérix, Tome 4 : Astérix gladiateurRené Goscinny, Albert Uderzo Nous sommes en 1959, en plein mois d'août. Dans une cité HLM de Bobigny, aux portes de Paris, deux auteurs de bande dessinée s'épongent le front. Pas seulement à cause de la chaleur estivale : les deux compères suent sang et eau pour trouver une idée de personnage. Il leur faut être prêts pour le premier numéro de Pilote, un nouveau magazine pour les jeunes dont la parution doit intervenir trois mois plus tard. Le scénariste s'appelle René Goscinny. Son copain dessinateur, c'est Albert Uderzo. Ils avaient bien pensé à adapter Le Roman de Renart, mais un autre y a songé avant eux. Alors, ils cherchent. Mais ne trouvent rien… Jusqu'à ce que Goscinny ait l'idée d'un petit Gaulois teigneux et moustachu. Banco : Astérix est né. Et, avec lui, un formidable succès d'édition doublé d'un phénomène de société. Il fait sa première apparition le 29 octobre 1959 dans les pages de Pilote. Puis l'album Astérix le Gaulois sort en librairie en 1961. Tirage modeste : 6 000 exemplaires. Mais la courbe des ventes ne va cesser de grimper. En 1966, 600 000 exemplaires d'Astérix chez les Bretons s'envolent en quinze jours. Le petit Gaulois est en couverture de l'hebdomadaire L'Express. Du jamais vu. L'année précédente, il a même donné son nom au premier satellite français. Les intellectuels mêlent leur grain de sel, certains trouvant à Astérix une ressemblance avec le Général de Gaulle… Goscinny et Uderzo n'en ont cure. Eux continuent à s'amuser, à faire vivre une galerie de personnages pittoresques, à réécrire l'Histoire et à régaler leurs lecteurs de gags subtils et de trouvailles visuelles. La disparition de Goscinny, en 1977, ne mettra pas fin à l'aventure. Uderzo continue seul et fonde les Éditions Albert-René. Désormais, c'est lui qui écrira les scénarios, sans toutefois faire preuve du même talent que son prédécesseur. Au total, les aventures d'Astérix et de son copain Obélix se sont vendues à plus de 280 millions d'exemplaires. Une réussite exceptionnelle dans la bande dessinée. —Gilbert Jacques 2012101674 Astérix, tome 7 : Le Combat des chefsRené Goscinny, Albert Uderzo Nous sommes en 1959, en plein mois d'août. Dans une cité HLM de Bobigny, aux portes de Paris, deux auteurs de bande dessinée s'épongent le front. Pas seulement à cause de la chaleur estivale : les deux compères suent sang et eau pour trouver une idée de personnage. Il leur faut être prêts pour le premier numéro de Pilote, un nouveau magazine pour les jeunes dont la parution doit intervenir trois mois plus tard. Le scénariste s'appelle René Goscinny. Son copain dessinateur, c'est Albert Uderzo. Ils avaient bien pensé à adapter Le Roman de Renart, mais un autre y a songé avant eux. Alors, ils cherchent. Mais ne trouvent rien… Jusqu'à ce que Goscinny ait l'idée d'un petit Gaulois teigneux et moustachu. Banco : Astérix est né. Et, avec lui, un formidable succès d'édition doublé d'un phénomène de société. Il fait sa première apparition le 29 octobre 1959 dans les pages de Pilote. Puis l'album Astérix le Gaulois sort en librairie en 1961. Tirage modeste : 6 000 exemplaires. Mais la courbe des ventes ne va cesser de grimper. En 1966, 600 000 exemplaires d'Astérix chez les Bretons s'envolent en quinze jours. Le petit Gaulois est en couverture de l'hebdomadaire L'Express. Du jamais vu. L'année précédente, il a même donné son nom au premier satellite français. Les intellectuels mêlent leur grain de sel, certains trouvant à Astérix une ressemblance avec le Général de Gaulle… Goscinny et Uderzo n'en ont cure. Eux continuent à s'amuser, à faire vivre une galerie de personnages pittoresques, à réécrire l'Histoire et à régaler leurs lecteurs de gags subtils et de trouvailles visuelles. La disparition de Goscinny, en 1977, ne mettra pas fin à l'aventure. Uderzo continue seul et fonde les Éditions Albert-René. Désormais, c'est lui qui écrira les scénarios, sans toutefois faire preuve du même talent que son prédécesseur. Au total, les aventures d'Astérix et de son copain Obélix se sont vendues à plus de 280 millions d'exemplaires. Une réussite exceptionnelle dans la bande dessinée. —Gilbert Jacques 2012101399 Astérix, Tome 8 : Astérix chez les BretonsRené Goscinny, Albert Uderzo Nous sommes en 1959, en plein mois d'août. Dans une cité HLM de Bobigny, aux portes de Paris, deux auteurs de bande dessinée s'épongent le front. Pas seulement à cause de la chaleur estivale : les deux compères suent sang et eau pour trouver une idée de personnage. Il leur faut être prêts pour le premier numéro de Pilote, un nouveau magazine pour les jeunes dont la parution doit intervenir trois mois plus tard. Le scénariste s'appelle René Goscinny. Son copain dessinateur, c'est Albert Uderzo. Ils avaient bien pensé à adapter Le Roman de Renart, mais un autre y a songé avant eux. Alors, ils cherchent. Mais ne trouvent rien… Jusqu'à ce que Goscinny ait l'idée d'un petit Gaulois teigneux et moustachu. Banco : Astérix est né. Et, avec lui, un formidable succès d'édition doublé d'un phénomène de société. Il fait sa première apparition le 29 octobre 1959 dans les pages de Pilote. Puis l'album Astérix le Gaulois sort en librairie en 1961. Tirage modeste : 6 000 exemplaires. Mais la courbe des ventes ne va cesser de grimper. En 1966, 600 000 exemplaires d'Astérix chez les Bretons s'envolent en quinze jours. Le petit Gaulois est en couverture de l'hebdomadaire L'Express. Du jamais vu. L'année précédente, il a même donné son nom au premier satellite français. Les intellectuels mêlent leur grain de sel, certains trouvant à Astérix une ressemblance avec le Général de Gaulle… Goscinny et Uderzo n'en ont cure. Eux continuent à s'amuser, à faire vivre une galerie de personnages pittoresques, à réécrire l'Histoire et à régaler leurs lecteurs de gags subtils et de trouvailles visuelles. La disparition de Goscinny, en 1977, ne mettra pas fin à l'aventure. Uderzo continue seul et fonde les Éditions Albert-René. Désormais, c'est lui qui écrira les scénarios, sans toutefois faire preuve du même talent que son prédécesseur. Au total, les aventures d'Astérix et de son copain Obélix se sont vendues à plus de 280 millions d'exemplaires. Une réussite exceptionnelle dans la bande dessinée. —Gilbert Jacques 2012101755 | Astérix, Tome 12 : Astérix aux Jeux OlympiquesRené Goscinny Nous sommes en 1959, en plein mois d'août. Dans une cité HLM de Bobigny, aux portes de Paris, deux auteurs de bande dessinée s'épongent le front. Pas seulement à cause de la chaleur estivale : les deux compères suent sang et eau pour trouver une idée de personnage. Il leur faut être prêts pour le premier numéro de Pilote, un nouveau magazine pour les jeunes dont la parution doit intervenir trois mois plus tard. Le scénariste s'appelle René Goscinny. Son copain dessinateur, c'est Albert Uderzo. Ils avaient bien pensé à adapter Le Roman de Renart, mais un autre y a songé avant eux. Alors, ils cherchent. Mais ne trouvent rien… Jusqu'à ce que Goscinny ait l'idée d'un petit Gaulois teigneux et moustachu. Banco : Astérix est né. Et, avec lui, un formidable succès d'édition doublé d'un phénomène de société. Il fait sa première apparition le 29 octobre 1959 dans les pages de Pilote. Puis l'album Astérix le Gaulois sort en librairie en 1961. Tirage modeste : 6 000 exemplaires. Mais la courbe des ventes ne va cesser de grimper. En 1966, 600 000 exemplaires d'Astérix chez les Bretons s'envolent en quinze jours. Le petit Gaulois est en couverture de l'hebdomadaire L'Express. Du jamais vu. L'année précédente, il a même donné son nom au premier satellite français. Les intellectuels mêlent leur grain de sel, certains trouvant à Astérix une ressemblance avec le Général de Gaulle… Goscinny et Uderzo n'en ont cure. Eux continuent à s'amuser, à faire vivre une galerie de personnages pittoresques, à réécrire l'Histoire et à régaler leurs lecteurs de gags subtils et de trouvailles visuelles. La disparition de Goscinny, en 1977, ne mettra pas fin à l'aventure. Uderzo continue seul et fonde les Éditions Albert-René. Désormais, c'est lui qui écrira les scénarios, sans toutefois faire preuve du même talent que son prédécesseur. Au total, les aventures d'Astérix et de son copain Obélix se sont vendues à plus de 280 millions d'exemplaires. Une réussite exceptionnelle dans la bande dessinée. —Gilbert Jacques 2012101720 Astérix, tome 17 : Le Domaine des dieuxRené Goscinny, Albert Uderzo Nous sommes en 1959, en plein mois d'août. Dans une cité HLM de Bobigny, aux portes de Paris, deux auteurs de bande dessinée s'épongent le front. Pas seulement à cause de la chaleur estivale : les deux compères suent sang et eau pour trouver une idée de personnage. Il leur faut être prêts pour le premier numéro de Pilote, un nouveau magazine pour les jeunes dont la parution doit intervenir trois mois plus tard. Le scénariste s'appelle René Goscinny. Son copain dessinateur, c'est Albert Uderzo. Ils avaient bien pensé à adapter Le Roman de Renart, mais un autre y a songé avant eux. Alors, ils cherchent. Mais ne trouvent rien… Jusqu'à ce que Goscinny ait l'idée d'un petit Gaulois teigneux et moustachu. Banco : Astérix est né. Et, avec lui, un formidable succès d'édition doublé d'un phénomène de société. Il fait sa première apparition le 29 octobre 1959 dans les pages de Pilote. Puis l'album Astérix le Gaulois sort en librairie en 1961. Tirage modeste : 6 000 exemplaires. Mais la courbe des ventes ne va cesser de grimper. En 1966, 600 000 exemplaires d'Astérix chez les Bretons s'envolent en quinze jours. Le petit Gaulois est en couverture de l'hebdomadaire L'Express. Du jamais vu. L'année précédente, il a même donné son nom au premier satellite français. Les intellectuels mêlent leur grain de sel, certains trouvant à Astérix une ressemblance avec le Général de Gaulle… Goscinny et Uderzo n'en ont cure. Eux continuent à s'amuser, à faire vivre une galerie de personnages pittoresques, à réécrire l'Histoire et à régaler leurs lecteurs de gags subtils et de trouvailles visuelles. La disparition de Goscinny, en 1977, ne mettra pas fin à l'aventure. Uderzo continue seul et fonde les Éditions Albert-René. Désormais, c'est lui qui écrira les scénarios, sans toutefois faire preuve du même talent que son prédécesseur. Au total, les aventures d'Astérix et de son copain Obélix se sont vendues à plus de 280 millions d'exemplaires. Une réussite exceptionnelle dans la bande dessinée. —Gilbert Jacques 2012101496 |